Ruptures dans nos vies personnelles et professionnelles
De l’errance au passage
Nos ruptures n’amènent pas toujours un mieux dans notre vie
Celui qui n’a pas peur de changer, de rompre, de partir, est perçu dans la société contemporaine comme quelqu’un de fort, qui va de l’avant… mais cette surface ne cache-t-elle pas une réalité autre, plus nuancée, plus complexe ?
Mise en perspective de l’adaptabilité demandée à l’individu par le monde de l’entreprise, et de la propension humaine à la résilience…
La reconfiguration permanente du travailleur au service du projet de son environnement économique, n’est-elle pas source de déchirements qui l’empêchent de se « trouver » sur le long terme ?
Sortir de l’errance pour aller vers un horizon vraiment plus bleu : quel discernement ?
Afin d’éviter « l’éternel retour des choses » dont parlait Nietzsche, les ruptures que nous traversons peuvent devenir un facteur de croissance professionnelle et personnelle, mais à quelles conditions ?
Pour celles que nous choisissons, à quels signes sentons-nous qu’elles vont nous faire évoluer dans le bon sens ou au contraire, qu’elles vont nous faire faire du sur place ?
Faire de nos ruptures perso des « phares » pour grandir tous ensemble
Nos « passages et ruptures individuels », dans nos vie pro et perso, peuvent aussi devenir des « phares » et nous guider dans les grandes transitions que nous sommes appelées à vivre collectivement.
Les mêmes barrières, les mêmes illusions, les mêmes espoirs, les mêmes peurs et parfois la même urgence les caractérisent. Les mêmes mécanismes gouvernent la psychologie individuelle et la psychologie collective. Quels sont-ils ?