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15/11/2021 22:24
Dernière Activité
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14/11/2021 17:42
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14/11/2021 16:43
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Nouvelle proposition à Partageons nos ressources inspirantes...
L'obéissance et le bien commun: éléments de réflexion par l'équipe Saint-Germain...
Bonjour,L'équipe Saint-Germain-en-Laye n°2 se propose de vous présenter ses éléments de réflexions sur l'obéissance et le bien commun. Le compte-rendu suivant a été rédigé par notre accompagnateur spirituel Paul Hatey à la suite d'une réunion de l'équipe et nous le remercions vivement d'avoir rédigé cette synthèse fruit de la réflexion de l'équipe.
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09/11/2021 09:38
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Nouvelle proposition à Parcours Intelligence Artificielle (IA)
Quelques ouvrages sur le sujet
Une proposition d'ouvrages à découvrir faite par Pierre Blanc, intervenant de la table ronde sur l'IA lors du Raseemblement Ignacien de Marseille du 31 octobre 2021 :L’éloge du carburateur de M.Crawford (2008)La condition ouvrière de S.Weil (édité en 1951, 8 ans après son décès) :"Allons-nous enfin assister à une amélioration effective et durable des conditions du travail industriel ? L'avenir le dira ; mais cet avenir, il ne faut pas l'attendre, il faut le faire."Sur l’origine de l’IA : Dartmouth, lien avec la cybernétique, etc.A la recherche de l'intelligence artificielle de Daniel Crevier (1993, traduit en 1999) = remarquableAvec une dimension philosophiqueWhat Computers Can't Do: The Limits of Artificial Intelligence de H.Dreyfus (1972, traduit en français)Des sommités de l’IA / neuroscienceLa Plus Belle Histoire de l'intelligence de de Stanislas Dehaene, Yann Le Cun (2018)Pour celles et ceux qui veulent monter d’un « cran »Gödel, Escher, Bach : Les Brins d'une Guirlande Éternelle de Douglas Hofstadter (1979)L'esprit, l'ordinateur et les lois de la physique de Roger Penrose (1989, traduit en français en 1998)A suivreLes débats de fin d’année de Montreal AI https://intelligenceartificiellemontreal.com/ et notamment la battle entre Yoshua Bengio et Gary MarcusEt bien sûr le livre de Pierre Blanc : "l'Intelligence Articielle expliquée à mon boss" : https://www.editions-kawa.com/home/241-lintelligence-artificielle-expliquee-a-mon-boss.html
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30/10/2021 09:12
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Nouvelle proposition à Parcours Intelligence Artificielle (IA)
Questionnaire sur l'IA
Merci de répondre au questionnaire :https://forms.gle/LwvWk9NcL5MksXA56
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27/10/2021 23:01
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Nouvelle proposition à Agriculture et alimentation : au cœur de la transition écologique ?
Pétition "Santé de la terre, santé de l’humanité" L’état de notre maison commun...
https://thecatholicpetition.org/fr/home-fr/"Notre maison commune et notre famille commune souffrent. L’urgence climatique engendre une montée du niveau des mers, un réchauffement de la planète et une augmentation des conditions météorologiques extrêmes. Ceci ravage la vie de nos sœurs et frères les plus pauvres.En parallèle, les biologistes estiment que les activités humaines sont la cause d’une extinction des espèces allant de 100 à 1000 fois plus vite que le cycle naturel. «Nous n’en avons pas le droit» (Laudato Si ’33).Signez la pétition : #sign" target="_blank">https://thecatholicpetition.org/fr/home-fr/#sign
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26/10/2021 11:33
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Nouvelle proposition à Retraite « Passeurs d'espérance »
Retraite spirituelle par l'équipe thème (article Responsables 452
Les 19 et 20 juin, les membres de l'équipe thème se sont réunis à l'accueil Saint-Paul d'Issy-les-Moulineaux (92) pour vivre un temps de retraite partagé. Après une année intense consacrée à mettre en place, par écran interposé, un parcours Congrès sur deux ans et en trois lieux (Paris, Marseille puis Nantes), l'objectif de la session tenait en quatre mots : convivialité, intériorité, empouvoirement et simplicité.Pour chacun, il s'agissait de se retrouver "en vrai", de se ressourcer, de s'approprier la spiritualité propre au "passage" et de devenir porteur du thème : être passeurs d'avenir dans le fracas actuel, qu'est-ce que cela signifie ? Au programme de la journée du samedi, topo et prière autour de figures de passeurs bibliques, tels Jérémie, Marie ou encore Élisabeth, avec un temps de rencontre en face-à-face à la lumière de la Visitation et une veillée festive pour choisir un "saint passeur"et le dimanche, outre la messe des temps de partage et de relecture. Le format de la retraite est aisément duplicable en région.Les supports d’animation sont disponibles sur Passeurs d’avenir. Mathilde Hallot-Charmasson,Équipe Congrès
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14/10/2021 10:23
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12/10/2021 11:51
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Nouvelle proposition à Retraite « Passeurs d'espérance »
La région Bretagne fait sa retraite type "Passeurs d'Espérance"
Le 25 /09/ 2021 a été l’occasion pour les équipes de la région Bretagne de se retrouver pour leur journée de rentrée au Centre spirituel de Penboch ...Article site MCC
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12/10/2021 11:29
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Nouvelle proposition à Retraite « Passeurs d'espérance »
Retraite spirituelle pour l'équipe thème ( article Responsables 452)
Les 19 et 20 juin, les membres de l'équipe thème se sont réunisà l'accueil Saint-Paul d'Issy-les-Moulineaux (92) pour vivre untemps de retraite partagé. Après une année intense consacréeà mettre en place, par écran interposé, un parcours Congrèssur deux ans et en trois lieux (Paris, Marseille puis Nantes),l'objectif de la session tenait en quatre mots : convivialité,intériorité, empouvoirement et simplicité.Pour chacun, il s'agissait de se retrouver "en vrai", de seressourcer, de s'approprier la spiritualité propre au "passage"et de devenir porteur du thème : être passeurs d'avenir dansle fracas actuel, qu'est-ce que cela signifie ? Au programmede la journée du samedi, topo et prière autour de figures depasseurs bibliques, tels Jérémie, Marie ou encore Élisabeth,avec un temps de rencontre en face-à-face à la lumière de laVisitation et une veillée festive pour choisir un "saint passeur"et le dimanche, outre la messe des temps de partage et derelecture. Le format de la retraite est aisément duplicable enrégion. Les supports d’animation seront bientôt disponiblessur Passeurs d’avenir. Mathilde Hallot-Charmasson,Équipe Congrès
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29/09/2021 15:27
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Nouvelle proposition à Discuter et dialoguer, le talent du MCC
Le chemin synodal en Allemagne:un exemple de dialogue sur des questions qui ne f...
Un exemple de dialogue effectif :« Il est d’autant plus important de rester ensemble dans la controverse et de ne pas abandonner la fraternité du Chemin, d’être l’Eglise ensemble. Donner des réponses franches alors que nous sommes à un tournant qui soulève des questions nouvelles et anciennes, au regard desquelles la confrontation est justifiée et nécessaire, signifie aussi ne pas toujours trouver des positions totalement unanimes. Mais il est important d’y aspirer, de chercher le cœur de la vérité dans le discours de quelqu’un dont je ne partage pas l’opinion «Les quatre pistes des réformes structurelles qui constituent l’enjeu même du chemin synodal sont : 1 La distribution des pouvoirs et des responsabilités dans l’Eglise. 2 L’existence des prêtres demain. 3 Place des femmes dans les services et les fonctions. 4 Réussir la vie relationnelle, l’amour dans le couple et la sexualité.https://www.promessesdeglise.fr/le-chemin-synodal-allemand-jerome-vignon/
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29/07/2021 10:40
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Nouvelle proposition à Partageons nos ressources inspirantes...
Rassemblement au large avec Ignace : les inscriptions sont ouvertes ! par Olivie...
Les inscriptions au rassemblement Au large avec Ignace sont ouvertes ! Venant de tous les coins de la Province EOF, 8 000 personnes, tous mouvements ignatiens confondus, sont attendus à Marseille, du 30 octobre au 1er novembre 2021. Depuis plusieurs mois, vingt équipes, soit plus d'une centaine de bénévoles, sont à pied d'œuvre pour les accueillir dans la joie.
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04/07/2021 11:28
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Nouvelle proposition à Passages en entreprise : préparer le monde d'après
Jean Dominique Senard L Express 4 juillet 2021Le patron qui décide de tout, qui...
Jean-Dominique Senard : "Le patron qui décide de tout, qui contrôle tout, c'est fini"Express 04/07/21Pour le président de Renault, un basculement s'est opéré avec la crise sanitaire. La performance économique ne peut plus être décorrélée des enjeux sociaux et environnementaux.Durée : 6 min "La complexité du monde, la rapidité et l'instantanéité des choses sont inouïes. Elles rendent la conduite des affaires plus difficile qu'avant, c'est incontestable", estime Jean-Dominique Senard."La complexité du monde, la rapidité et l'instantanéité des choses sont inouïes. Elles rendent la conduite des affaires plus difficile qu'avant, c'est incontestable", estime Jean-Dominique Senard.afp.com/Behrouz MEHRIPropos recueillis par Pascal Pogampublié le 04/07/2021 à 09:00 , mis à jour à 09:02Dans l'hebdo du 08 JuilletActualité économiqueDepuis des années, il fait entendre sa différence au sein du patronat français. Chez Michelin, d'abord, à la tête de Renault aujourd'hui, Jean-Dominique Senard s'est fait le chantre d'un capitalisme "responsable", conciliant enjeux économiques, sociaux et environnementaux. Il tire pour nous les enseignements de la pandémie. Une "crise d'une complexité inouïe", qui a "terriblement secoué" les entreprises, et laissera forcément des traces chez leurs dirigeants. L'Express : La France a tourné la page des confinements, l'efficacité des vaccins permet enfin à l'économie de redémarrer... Quel est votre état d'esprit après cette longue crise ? En sortez-vous un peu sonné, ou au contraire avec l'envie de repartir pied au plancher, "comme avant" ? Jean-Dominique Senard : Je ressens avant tout une incroyable soif de mouvement. Un grand soulagement aussi : imaginez ce qui se serait produit si la crise sanitaire avait éclaté un an plus tôt, alors que Renault était en plein séisme... Nous ne serions même pas là pour en parler. Ma grande fierté est que nous soyons parvenus à repartir du bon pied dans ce contexte compliqué, avec une gouvernance solide, une crédibilité retrouvée et l'arrivée d'un nouveau dirigeant exécutif, Luca de Meo, qui insuffle le dynamisme dont nous avions besoin. Mais je vous le confirme, et tous les patrons vous diront la même chose : la pandémie nous a terriblement secoués. Chacun, dans son entreprise, a vécu un exercice de crise d'une complexité inouïe, auquel personne n'était préparé. Je peux vous assurer que cela fait mûrir... Je pense sincèrement que pour beaucoup, cette séquence a servi de "wake up call", et accéléré la réflexion sur l'évolution nécessaire du capitalisme. Podcast La LoupeLa Loupe, le podcastNouveau ! Ecoutez l'info de plus prèsLe matin, dès 6hJe découvre gratuitementJe découvre gratuitementTrès concrètement, en quoi cette prise de conscience peut-elle changer la donne sur le plan managérial ? Jusqu'à présent, le thème de la responsabilisation des équipes, de l'accroissement des autonomies, était porté par quelques rares dirigeants convaincus qu'une entreprise avait tout à gagner à laisser plus de libertés et de marges de manoeuvre à ses salariés. Je m'honore d'avoir pu l'expérimenter chez Michelin, avec un succès que personne ne conteste. Mais ce type d'organisation n'était pas généralisé, c'est le moins qu'on puisse dire... Eh bien, j'ai réellement le sentiment que les choses ont changé avec la crise. Quand j'observe la façon dont se réorganisent les grands groupes, les changements structurels décidés pendant la pandémie, je constate qu'ils sont tous ou presque motivés par ce besoin de rendre de l'autonomie aux équipes, en faisant émerger au passage des talents nouveaux, qu'on ne percevait pas, qui étaient un peu écrasés par un système hiérarchique essentiellement basé sur le commandement et le contrôle. Tout ceci est en train d'évoluer de façon massive et je dirais sans option de retour... LIRE AUSSI >> Maurice Lévy : "La mère des batailles, c'est la lutte contre les inégalités"Cette évolution touche à des questions plus profondes sur la recherche de sens, d'engagement, qui sont des interrogations fondamentales par rapport au capitalisme. Il me semble que c'est ce sujet-là qui est en train de bouger, et c'est heureux. La pandémie, avec toutes les contraintes qu'elle a engendrées, a accéléré l'Histoire, parce qu'au fond tous les dirigeants se sont retrouvés confrontés au même problème : il faut bien continuer à faire les choses, alors faites au mieux... C'est un mouvement très difficile à gérer parce que vous pouvez provoquer de l'incompréhension, chez des managers qui depuis trente ans ont travaillé différemment. Mais à force de formation et de pragmatisme, ces dirigeants doivent évoluer ; s'ils ne le font pas, ils se retrouveront rapidement hors circuit, car les équipes supporteront de moins en moins l'ancien carcan. Pendant des mois, elles ont appris à se débrouiller. Diriez-vous que ces évolutions requièrent de nouveaux profils à la tête des entreprises ? La complexité du monde, la rapidité et l'instantanéité des choses sont inouïes. Elles rendent la conduite des affaires plus difficile qu'avant, c'est incontestable. Un dirigeant, aujourd'hui, ne peut plus être dans une logique de contrôle et de maîtrise absolus. Celui qui n'accepterait pas de déléguer, ne comprendrait pas la volonté farouche des équipes de s'autonomiser, perdrait totalement la capacité d'agir. C'est juste trop compliqué, ça va trop vite. Les collaborateurs comprennent certaines choses plus rapidement que leur responsable. Pourquoi brider cette énergie ? Mieux vaut au contraire la susciter ! En appliquant ce bon vieux principe de management : il faut toujours s'entourer de gens plus compétents que soi, leur donner de l'élan. Tout en démontrant de temps en temps que vous êtes bien le chef, quand même... Vous dites percevoir une évolution des attentes autour du système capitaliste. Ne craignez-vous pas que les discours sur le capitalisme responsable, à visage humain, soient aussi éphémères que les incantations sur le "monde d'après" ? Je peux vous dire que tous les dirigeants auxquels je parle ont perçu un réel changement. Il est soudain et spectaculaire. Il y a trois ans, j'ai écrit avec Nicole Notat le rapport sur le rôle de l'entreprise. Je ne soupçonnais pas, à l'époque, à quel point ces sujets allaient entrer en résonance avec ce que nous vivons. Depuis un an ou deux - c'est très récent -, un basculement s'est opéré dans notre écosystème. Nous sommes tous surpris de voir à quel point les questions de gouvernance, de responsabilité dite sociale et environnementale [RSE] sont devenues primordiales aux yeux de la sphère médiatique mais aussi de la communauté financière. Encore récemment, les analystes s'intéressaient uniquement aux résultats financiers, à tel ou tel ratio. LIRE AUSSI >> Le plan de Renault pour reprendre son leadership dans l'électriqueDepuis un peu plus d'un an, les gens vous interrogent d'abord sur ce que vous faites en matière de gouvernance, d'action sociale et environnementale. Cela veut dire qu'il y a un mouvement profond dans le monde capitaliste sur ces questions. Cela devient incontournable parce que les investisseurs eux-mêmes ont commencé à changer d'état d'esprit et considèrent qu'investir dans une entreprise qui ne se soucierait pas de ces enjeux serait une énorme erreur. Ce basculement devient très palpable. Et c'est à mon avis un mouvement définitif. C'est tellement vrai que dans nos propres entreprises, il ne nous viendrait plus à l'esprit de séparer la performance économique des autres enjeux sociaux, environnementaux, de gouvernance. D'ailleurs chez Renault nous venons de fusionner les comités stratégique et RSE du conseil d'administration. Tout est lié en fait, la performance économique dépend de ce que vous faites dans les autres domaines, et c'est ce qui me rend très optimiste sur l'avenir du capitalisme : en réalité, le sens, on l'a enfin trouvé. On ne se contente plus de pousser les gens sur leurs performances, le cash-flow et les résultats opérationnels, mais on les motive de façon beaucoup évidente sur le sens profond de leur travail, ce qui fait qu'on se lève le matin pour aller travailler. "Depuis un an ou deux - c'est très récent -, un basculement s'est opéré dans notre écosystème"La situation est paradoxale : de plus en plus de patrons français se saisissent de ces enjeux de responsabilité, prétendent "moraliser" le capitalisme, et dans le même temps, les feuilletons industriels et financiers qui ont rythmé l'actualité ces derniers mois donnent le sentiment d'une brutalité inédite... Comment expliquez-vous cette contradiction ? Je crois que la personnalisation, le côté presque people du monde capitaliste, alimentent ce phénomène. Parce qu'il est de plus en plus incarné par les dirigeants, un affrontement entre deux entreprises devient un combat de personnes, ce qui ne contribue pas à apaiser les esprits. Mais sur le fond, il n'y a rien d'anormal ou de malsain à ce que des groupes fusionnent ou se rachètent. L'histoire du monde capitaliste n'est faite que de cela ! Ceux qui pensent que le capitalisme responsable interdit les batailles boursières se trompent... Cela reviendrait à annihiler toute espèce de dynamisme. Défendre une autre vision du capitalisme, ce n'est pas vouloir empêcher les recompositions, figer les situations. Au contraire, si un rapprochement permet de créer de la valeur, alors il faut l'encourager. Dans la compétition mondiale actuelle, si vous fermez le sujet, si vous négligez la performance économique au nom d'un capitalisme responsable mal compris, vous vous condamnez à disparaître. Il faut être lucide. La vraie clef, c'est la manière, la capacité à anticiper les transformations nécessaires, même les plus douloureuses. C'est là que les sujets RSE et gouvernance prennent tout leur poids. Comment faire en sorte que ce genre d'opérations n'aient pas de conséquences lourdes sur le plan social et l'employabilité des personnes concernées ? Tout est possible, mais sans souffrance sociale. Tous les mouvements radicaux qui se sont opposés au capitalisme par le passé, toutes les réactions antisystèmes libéraux sont fondées sur ce sentiment de ne plus participer au même destin, et d'avoir deux mondes qui se séparent. Si nous voulons l'éviter, nous devons absolument maintenir le lien. C'est ce qui doit nous guider aujourd'hui. Dates clefs 1953 : Naissance à Neuilly-sur-Seine
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30/06/2021 16:37
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Nouvelle réunion à L’ESS : premier pas sur le chemin d’une économie au service de tous
« L'entreprise engagée : agir ensemble et de manière pérenne pour que chacun tro...
Le 31 mars 2021, Pierre-Yves Loaec, Sébastien Payen et Christian Jacquemin ont présenté leur vision de l'entreprise engagée et de la gratuité dans l'entreprise.
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30/06/2021 16:32
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Nouvelle réunion à La transition écologique : quelles formations pour quels métiers ?
« La transition écologique : quelles formations pour quels métiers ? » avec Emel...
Le 24 mars 2021, Emeline Baudet et Arthur de Lassus ont témoigné de leur expérience dans la formation dans les métiers de la transition écologique. Emeline Baudet est chercheure en post-doctorat au sein du Georgetown Environmental Justice Program et membre du Campus de la Transition, lieu d’ensei...
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